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Poème de Marie-Thérèse DERVILLÉ épouse d'André

Y'a d'la rumba dans l'air  

A quoi ça sert de discuter,

Puisque, seule compte votre raison,

Mais pourquoi tant vous disputer

Quand chez vous, brûle le torchon.

Pensez d'abord à vos enfants,

Qu'ils soient petits, ou qu'ils soient grands,

La mésentente les fait pleurer

Alors, mieux vaut, se séparer.

Vous resterez toujours parents,

Pour eux, ce sera plus décent,

De voir papa, plus souriant,

Et maman, sans médicaments.

Les enfants vous aiment tous les deux,

Et voudraient vous voir plus heureux,

Donc ne soyez pas, ennemis,

Mais, séparez-vous, en amis.

Quand chacun aura son chemin,

Calmés, vous tendrez la main.

Pour vous réunir en famillle,

Le jour du mariage des filles.

Courage ! Et voeux de sérénité pour tous.

Marie- Thérèse DERVILLÉ

GRANDFRESNOY

 

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